Nous sommes maintenant pressés d'être à Rio Grande. Il nous reste 28 km de piste, et le reste sur route. Le vent souffle en continue à 50 km/h. Nous devons même à certains endroits marcher à côté du vélo. En effet, quand les camions passent, ils font un tel appel d'air qu'il est trop risqué de se maintenir sur nos deux roues. L'arrivée à Rio Grande, avec sa bonne pâtisserie, a été plus que bienvenue. En terme d'efforts, il s'agit de la journée la plus éprouvante jusqu'alors.